après avoir rappelé que 14 des 18 scientifiques du comité de préfiguration s'étaient désolidarisés de l'expression publique du président du comité, lequel avait fait état de doutes sérieux quant à l'innocuité du MON 810, a souligné les risques liés à une instrumentalisation médiatique d'attendus scientifiques, ainsi qu'à une généralisation hâtive jetant l'opprobre sur une technologie et contraire au principe du cas pas cas, en insistant sur la nécessité de préserver les activités de recherche et les compétences dans ce domaine, compétences qui, fondées sur la connaissance, sont indispensables pour mener les évaluations demandées.