a tout d'abord rappelé qu'il avait été désigné par l'Office pour siéger à la Commission du génie biomoléculaire, dont tous les membres avaient été nommés en raison de leurs compétences scientifiques, mis à part lui-même qui, à travers le Parlement, représentait la société, et qu'à ce titre on lui avait demandé de siéger dans le comité de préfiguration de la Haute autorité sur les OGM.
Puis, il a indiqué qu'au sein de la Commission du génie biomoléculaire, les travaux sur le dossier MON 810, avaient débouché sur une demande visant à approfondir l'étude toxicologique produite par l'industriel, en augmentant le nombre de rats sur lesquels était pratiquée l'expérimentation et la durée de l'exposition pour atteindre le seuil de 3 mois, seuil habituel en toxicologie.