a indiqué que la vocation première du rapport était de proposer des recommandations.
Trois pistes de réflexion se dégagent :
- faire un état des lieux des connaissances acquises et de celles qu'il reste nécessaire d'acquérir ou d'approfondir, certaines études épidémiologiques faisant actuellement défaut ou n'ayant pas encore produit de résultats,
- analyser le cadre réglementaire, national, européen et international, en s'interrogeant sur les considérations pouvant justifier le retrait de certaines substances du marché,
- recenser les moyens alternatifs possibles, reposant par exemple sur de nouvelles méthodes agronomiques, le développement de nouvelles molécules, le recours à des produits phytosanitaires classés « naturels » ou les biotechnologies.