a insisté sur le fait que la politique en matière de garde d'enfant ne pouvait pas dépendre exclusivement de la solidarité locale, surtout lorsqu'il s'agit de communes défavorisées. Seule la solidarité nationale peut pallier le manque de moyens. Les collectivités territoriales sont dans l'incapacité financière d'assumer ces politiques.
Il sera impossible à de nombreuses communes pauvres de banlieue qui sont au bord de l'asphyxie financière de faire un effort pour accueillir les enfants le samedi matin, comme l'a souhaité le ministre de l'éducation nationale. Les communes des banlieues défavorisées sont asphyxiées financièrement.