S'agissant de l'A400M, les retards devaient d'abord être limités à six mois, puis douze, après quoi ils sont passés à vingt-quatre mois. EADS ayant indiqué que plusieurs retards ne lui étaient pas directement imputables, il me paraît délicat de lancer une procédure de pénalités. Cela ne me semblerait envisageable que si l'entreprise était entièrement responsable du retard, ce qui n'est apparemment pas le cas.
Bien que des réductions globales d'effectifs soient prévues, la recherche et l'information ne seront pas affectées par le budget. Ces secteurs seront au contraire privilégiés.