Je suis d'autant plus perplexe s'agissant des lois mémorielles ou historiques que l'enseignement suppose le libéralisme, au sens le plus élevé du terme. J'espère que l'on ne dira jamais à un enseignant ce qu'il faut enseigner et comment il doit le faire. La loi doit-elle néanmoins fixer plus précisément les programmes ? Doit-elle s'en abstenir absolument ? Jusqu'où le législateur doit-il aller alors que la mémoire collective s'amenuise ?