Il faut souligner, comme nous l'avons tous fait, l'immense difficulté à laquelle sont confrontés les éleveurs des zones de montagne. C'est presque une question de vie ou de mort, de survie !
Vous nous feriez presque culpabiliser, monsieur le ministre, en nous disant que cet argent serait pris sur le fonctionnement de votre ministère et devrait permettre de maintenir des élevages qui vont disparaître. Mais vous êtes beaucoup moins regardant quand il s'agit de mettre en oeuvre la révision générale des politiques publiques dont on nous répète qu'elle s'impose. Aujourd'hui, sans doute êtes-vous un peu juste – chez nous on dit : « riquiqui » – quant à vos crédits, mais vous récoltez ce que le Gouvernement a semé !