a considéré que l'Europe inquiétait les citoyens et ne les rassurait pas en évoquant les difficultés des marins pêcheurs, les craintes quant à l'avenir des services publics et les soucis des jeunes pour leur futur. Après avoir regretté que la présidence française n'ait pas de programme dans le domaine social, elle s'est interrogée sur la façon de faire entrer cette préoccupation dans les différentes questions qui seront abordées pendant cette période de façon à faire reculer la peur de l'Europe.