Je partage le sentiment de notre collègue André Schneider sur l'audition à laquelle nous venons d'assister. Je souhaiterais rappeler à nos interlocuteurs que le Parlement français dispose de droits en matière de transparence et de contrôle qu'il entend bien exercer. Or, il semble qu'ils aient considéré les questions des parlementaires comme impertinentes. En outre, je regrette l'affirmation de l'incompétence de collègues des services de l'Etat qui sous-tendait certains propos. En conclusion, si j'approuve l'objet de la convention, à savoir l'installation de la Maison de la Francophonie à Paris, j'émets de sérieux doutes sur le montage financier qui l'accompagne.