La réunion que nous venons de tenir est très particulière. Un aréopage de responsables devait répondre à nos questions ; sans me prononcer sur le fond des réponses apportées, j'estime que l'attitude de ces personnes, toisant littéralement les députés que nous sommes, a été inadmissible. Il va de soi que nous sommes tous favorables à l'installation à Paris d'une Maison de la Francophonie ; quant aux modalités choisies par le Gouvernement, elles n'auraient pas dû être présentées avec une telle morgue. C'est vous, Monsieur le président, qui avez fini par formuler explicitement les réponses simples que nous étions en droit d'attendre des représentants du Gouvernement et de la SOVAFIM. Par respect, nous n'avons pas voulu hausser le ton.