Au-delà du fait que la discussion des modalités d'un éventuel rachat concerne l'État et la SOVAFIM, je note que si le portage n'avait pas été réalisé, l'État aurait dû cumuler un certain nombre de coûts : achat de la partie de l'immeuble qu'il ne possédait pas, coût d'opportunité de l'utilisation de la partie de l'immeuble dont il était propriétaire, coût des travaux et de l'entretien et, enfin, coût de l'actualisation financière. Dans ces conditions, il aurait été très difficile d'envisager un amortissement en 15 ans.