En 2002, lors du sommet de Beyrouth, la France s'est engagée à héberger l'Organisation internationale de la Francophonie dans une « Maison internationale de la Francophonie », qui devait initialement être implantée avenue de Ségur. Cette solution a été abandonnée en juillet 2007, du fait de son coût excessif – le désamiantage et la rénovation des locaux devant dépasser les 100 millions d'euros – et des délais que sa mise en oeuvre aurait nécessités. Le Président de la République a finalement retenu la solution proposée par les inspections générales des affaires étrangères, de l'équipement et des finances, missionnées à cette fin, d'une implantation de l'OIF dans deux immeubles de l'avenue Bosquet, transférés à la SOVAFIM. Nous avons donc suivi les conclusions de cette mission, cette solution nous permettant de tenir notre engagement d'être prêts en 2010, l'OIF devant en contrepartie, conformément à nos accords, participer au financement de l'opération à hauteur du produit de la cession d'un immeuble à Bordeaux et Quai André-Citroën, à Paris.