a précisé que, pour les inspecteurs, le savoir est épicène : il n'est ni masculin, ni féminin, même si on peut montrer par ailleurs que le savoir ayant été construit dans l'histoire par les hommes, des biais se sont produits.
Pour les inspecteurs, le savoir étant neutre, les questions de relations ne sont pas vraiment pertinentes dans l'école.
Par ailleurs, il y a beaucoup plus d'inspecteurs que d'inspectrices, même si un petit effort est fait dans le primaire pour augmenter la proportion des femmes parmi les inspecteurs des établissements du primaire. Mais il n'y a pas beaucoup de femmes parmi les inspecteurs pédagogiques régionaux (IPR) et encore moins parmi les inspecteurs généraux (IG).
Le texte de la convention est bon. Le problème est qu'elle n'est pas appliquée.