C'est le résultat d'une majorité rassemblée derrière le Président de la République, d'une campagne bien conduite et d'un discours clair sur l'Europe que nous voulons.
Le deuxième enseignement de ce scrutin, c'est l'échec de l'opposition ou, plus exactement, des oppositions. Miné par ses divisions et rabâchant toujours les mêmes discours dépassés, le parti socialiste, je crois pouvoir le dire aujourd'hui, n'intéresse plus en ce moment les Français.