a précisé que l'étude sur les radiofréquences n'avait pas vocation à constituer un rapport exhaustif, mais plutôt à apporter des informations intelligibles par le grand public sous la forme de questionsréponses. En ce qui concerne la question sanitaire des basses fréquences liées aux lignes à haute tension, il a admis que l'Académie de médecine n'avait pas jugé utile de s'intéresser à cette question mais il a estimé que de nombreux physiciens seraient en mesure de faire le point sur les études scientifiques publiées à ce sujet. Il a ajouté que dans le domaine des éventuelles conséquences sanitaires des lignes à haute tension, les scientifiques chargés soit des études épidémiologiques, soit des recherches in vivo ou in vitro pouvaient être qualifiés d'experts sans qu'on puisse leur reprocher un quelconque conflit d'intérêt puisque ces chercheurs n'avaient jamais travaillé pour l'industrie.