, après s'être inquiété de la faiblesse des moyens en personnel de la CNIL et avoir souligné la nécessité, à terme, de réaliser une fédération des CNIL européennes, a demandé, d'une part, si la CNIL était en relation avec les spécialistes de la recherche publique, en particulier l'INRIA, et, d'autre part, si l'on travaillait actuellement au niveau européen à la définition de normes à appliquer au monde virtuel.