, revenant sur le problème de la biométrie, a précisé que l'enjeu premier est toujours celui de la sécurité et que lorsque cette dernière est en cause, un fichier d'empreintes digitales peut se justifier et être autorisé, en prenant l'exemple du contrôle d'accès à un laboratoire manipulant des produits toxiques.
Il a indiqué qu'un groupe européen et international travaillait actuellement à des recommandations pour le bon usage des puces RFID. Il a également annoncé que ce groupe rendrait publiques au mois de février des recommandations sur les moteurs de recherche.
Evoquant le dossier Swift (Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication) concernant les transferts bancaires internationaux, puis celui des données des passagers des compagnies aériennes, il a rappelé que la confidentialité constituait un élément essentiel de la sécurité des systèmes d'information.