En primaire, il n'y a pratiquement que des femmes. Plus on monte dans le cursus scolaire et plus leur part diminue. D'autre part, il n'y a que 10 % des inscrit en IUFM qui entrent finalement dans l'éducation nationale. Ce système est destructeur car il est difficile, pour ceux qui ont échoué de reconstruire ensuite un projet professionnel. Les jeunes filles surtout vont plutôt se tourner vers la recherche d'un emploi immédiat qui ne correspond pas alors à leur qualification.