Claude Allègre souligne la désaffection générale, tant des garçons que des filles, pour l'ensemble des filières scientifiques et technologiques. On peut penser que cela s'explique, en partie, par la crainte qu'inspire la science aujourd'hui. Elle n'est plus vue, comme au siècle dernier, comme un facteur de progrès. S'y ajoute, sans doute, le fait qu'il s'agit d'études longues et contraignantes. Il serait intéressant d'avoir des précisions sur les facteurs expliquant cette situation.