Étant donné qu'il est quasiment impossible d'obtenir une majorité des trois-cinquièmes en faveur du veto – le calcul a été fait, cela n'aurait jamais pu se produire sous la Ve République –, nous voulons inverser le dispositif : nous proposons que ce soit un avis positif qui soit recueilli à la majorité des trois-cinquièmes.
Donner le pouvoir de nomination et de révocation au seul Président de la République ne constitue pas un progrès mais un recul grave de la démocratie.