a indiqué que le franchissement ferroviaire des Alpes entre Lyon et Turin, s'ajoutant au Brenner et au Saint-Gothard, intéressait notamment l'Espagne, qu'une liaison minimale de 500 kilomètres n'était pas nécessaire pour assurer la rentabilité du projet et que la France devrait recourir plus fréquemment au partenariat public privé.
En réponse à M. Christian Paul, il a estimé qu'il convenait effectivement de ne pas stigmatiser la liaison routière, car elle est incontournable pour les petites distances. Il faut cependant favoriser les véhicules propres, et maintenir un important effort de recherche. La France peut continuer à faire des infrastructures de désenclavement territorial.
En réponse à MM. Daniel Garrigue et Pierre Forgues, il a convenu de ce que la question du franchissement des Pyrénées centrales doit trouver une solution, en liaison avec la plate forme logistique de Saragosse.