Le retrait de Siemens ne constitue-t-il pas une occasion manquée pour réaliser une alliance européenne et construire un pôle énergétique d'avenir ? Ce divorce est-il définitif ou peut-on espérer une reconstitution du couple à plus ou moins long terme ?
En outre, la vente d'actions me semblant une excellente façon de financer certaines dépenses, est-il possible de dépasser le seuil des 15 % – dès lors que l'État conserve la majorité qualifiée – en particulier afin de financer des dépenses de recherche ?