La vente des « bijoux de famille » d'AREVA – et notamment de sa filiale T&D – constitue certes un vigoureux recentrage, mais ne posera-t-elle pas un certain nombre de problèmes ?
Par ailleurs, comment envisager une amélioration de l'autofinancement de l'entreprise dans un contexte de concurrence exacerbée ?
Quel est le coût du désengagement de Siemens ? Est-il compris dans les enveloppes globales que vous avez présentées ?
Compte tenu de ce que la cession des parts de certaines entreprises constituait autant de contreparties de provisions passées pour le démantèlement d'installations nucléaires, comment reconstituer ces dernières ?
Enfin, à quel montant se chiffreront pour AREVA les rentrées nettes d'impôt résultant des cessions ?