a précisé que tout en étant l'auteur de cette étude, elle n'était pas une chercheuse spécialisée dans l'histoire des femmes, dans ce qu'on appelle aujourd'hui « le genre », c'est-à-dire la construction sexuée de l'histoire.
À ce propos, Mme Marie-Jo Zimmermann, présidente, lui a demandé s'il n'était pas possible d'utiliser un autre terme que « genre », peu évocateur en français.