Je serai ravi de le faire, monsieur le président, car elle a trait aux informations que l'Agence des participations de l'État a pu obtenir et aux questions qu'elle a pu poser.
À chacune de nos réunions, nous avons interrogé l'entreprise. Nous avons également posé des questions par l'intermédiaire de l'administrateur auprès de la SOGEADE. Je tiens à votre disposition tous les procès-verbaux des conseils d'administration. J'ai entendu dire que les administrateurs de l'État dormaient : dans ce cas, sans doute sont-ils somnambules puisqu'ils ont parlé en dormant !
L'APE a fait sont travail, et ce dans un contexte où l'on essayait de l'en empêcher. Elle n'était pas en situation de détenir des informations privilégiées – car telle était la première question, posée dans un article du Figaro –, elle détenait plutôt un privilège de sous-information.