Dans ces pays, la question de l'enseignement me semble fondamentale, presque plus que celle de la santé. Lorsque les structures gouvernementales existent, les ministres sont tout à fait à même de mettre en exergue l'éducation des petites filles, qu'ils développent souvent sans aucune aide extérieure.
Il faut insister sur le pouvoir considérable dont les femmes disposent en Afrique – souvent lié au caractère matriarcal des sociétés. Au Sénégal, par exemple, il y avait jusqu'à une date récente beaucoup plus de femmes ministres qu'en France. Ce sont les femmes qui ont imposé la paix en Casamance.
Mais ma question est tout autre : quelles sont les procédures de contrôle des ONG ?