a estimé que l'action de l'AERES était utile pour évaluer les équipes CNRS dans le contexte plus large d'une université et parce qu'une équipe n'était pas seulement une somme d'individualités mais avait une dynamique propre.
En matière de nanotechnologies, le CNRS travaille sur une structuration en deux pôles : Grenoble et Saclay, ce dernier devant avoir la place principale. Au niveau européen, les hésitations entre un site localisé et un site virtuel n'ont pas permis une décision, mais la présidente du CNRS a exprimé sa préférence pour un réseau des grands pôles technologiques des pays européens.