C'est déjà le cas, cela n'a aucun rapport avec le bouclier sanitaire ! En France, hormis les assurés ne possédant pas de complémentaire – soit 8 % de la population, catégorie qui est plutôt victime de manque de soins –, il n'existe aucun frein. Le risque de consommation débridée n'est donc pas inquiétant.