a tout d'abord manifesté un certain déplaisir à constater l'ouverture de 60 millions d'euros pour financer le régime spécial de retraite de la RATP. Il a fait remarquer que le nombre de liquidations de retraites se serait accru de 30 % par rapport à 2006, ce qui conduit à s'interroger sur la gestion des ressources humaines dans une entreprise manifestement incapable de prévoir d'une année sur l'autre le nombre de départs à la retraite de ses agents. Il a souhaité connaître les raisons de cette augmentation non maîtrisée.