Si les décisions sont centralisées, il n'en va pas de même des financements ! Les contributions des collectivités locales ne cessent d'augmenter, en raison notamment de la complexité des programmes et de l'accumulation des retards qui conduisent à des dérives de prix parfois très importantes, quelles que soient les opérations concernées.
L'engagement de l'ANRU étant fixe, il revient aux collectivités locales de procéder aux réajustements financiers. N'y aurait-il pas moyen d'agir autrement ?