Nous n'ignorons pas cet objectif, mais nous devons prendre tous les éléments en compte et nous ne pouvons faire abstraction de la question du financement. Cela ne nous empêche pas d'être très vigilants et d'intervenir dans toutes les instances en mettant l'accent sur les conclusions de l'étude dont Mme Bridenne a fait état. De plus, début 2008, notre conseil d'administration a présenté une série de propositions tendant à gommer les aléas de carrière. Elles concernaient tous les salariés, mais nous savions que certaines visaient plus particulièrement les femmes. C'est notre contribution, mais nous ne sommes pas décideurs.