Ces questions doivent être articulées avec la politique familiale. L'équilibre financier du régime étant étroitement lié au nombre d'enfants, qui sont nos futurs cotisants, il ne faudrait pas encourager les femmes à en avoir moins. C'est dire l'intérêt de l'acquisition de droits individuels tels l'AVPF qui permettent de concilier vie familiale et vie professionnelle, au contraire de ce qui se passe en Allemagne et en Italie, où les femmes sont contraintes de choisir l'une ou l'autre.