Actuellement, la pension de droit propre des femmes est en moyenne égale à 60 % de celle des hommes, une fois intégrée la pension de réversion. Or, le taux de nuptialité décroît de génération en génération et le nombre de divorces ne cesse d'augmenter. Il en résulte que la proportion de femmes retraitées qui n'auront pas droit à une pension de réversion augmente. Il faut donc insister sur les droits propres des femmes plutôt que sur les droits de réversion.