a insisté sur la place de la solidarité dans le secteur des services à la personne. Pour que les professionnelles qui y travaillent considèrent qu'elles rendent un service, il faut que les employeurs en aient conscience et que la société reconnaisse que leur métier a du sens et participe de la société.
Ce qui manque vraiment à la FEPEM c'est la représentativité dans les organisations professionnelles. On ne peut pas parler de services à la personne et de développement de l'emploi sans parler des particuliers-employeurs.