Le montage du dispositif est déjà très compliqué. Lors de la première phase, il a été très difficile d'obtenir la participation des Luxembourgeois à la garantie. Ils ont aussi refusé de participer au capital du groupe, ne voulant intervenir qu'auprès de la filiale luxembourgeoise, et sous forme d'obligations convertibles. Dans la mesure où le Luxembourg représente environ 3 % de la garantie octroyée par les États à Dexia en octobre 2008, les États belge et français ont pensé qu'ils aboutiraient plus facilement si le Luxembourg n'était pas associé au dispositif.