Je voudrais revenir sur les indicateurs de performance. Dans la mesure où la haute administration définit ses propres indicateurs, il n'est pas étonnant que les résultats correspondent généralement aux perspectives tracées en début d'année. Selon vous, il est rare que les indicateurs permettent de mesurer la réalité de la performance qualitative. Ne serait-il pas opportun que des opérateurs extérieurs, voire le Parlement, les passent au crible ? On aurait pu penser, dans le cadre de la mise en place de la LOLF, qu'ils ne restent pas de la seule responsabilité du ministère ou de l'opérateur concerné.