Je suis de l'avis du Président Migaud : il n'existe pas de bonne solution. La situation me rappelle le dilemme auquel on est confronté lorsqu'un auteur vous adresse son livre : doit-on attendre, pour lui répondre, d'avoir lu l'ouvrage, au risque de laisser passer plusieurs semaines et de passer pour un malappris, ou est-il préférable de lui écrire tout de suite sans avoir lu l'ouvrage ?
Le Rapporteur général : Vos rapports se lisent comme des romans, monsieur le Premier président !