a rappelé que l'OPEPS avait effectivement fait le choix de centrer son étude sur la prise en charge précoce des AVC et sur les soins aigus, en raison de l'ampleur qu'aurait prise une étude portant sur l'ensemble de la filière de prise en charge et sur les économies entraînées au niveau des soins de rééducation, par la réduction des séquelles obtenues à la phase précoce.
Se félicitant du fait que l'hospitalisation des victimes d'une AVC dans des unités de soins neurovasculaires (UNV) permette une baisse de leur mortalité de 20 %, Mme Dominique Orliac, députée, a souhaité savoir si la mise en place de telles unités avait eu également un impact sur la morbidité liée aux AVC.