Allons, mon cher collègue, restons laïques… (Sourires.)
En 2005, Jacques Mistral, alors ministre conseiller à notre ambassade de Washington, faisait une analyse alarmante, particulièrement pertinente et aujourd'hui avérée, de la situation du crédit hypothécaire ; mais vous ne l'écoutiez pas. Vous avez préféré poursuivre une politique qui encourageait ce que vous dénoncez aujourd'hui. Ce n'est pas moi qui le dis – vous pourriez répondre que je ne suis pas objectif (Rires sur les bancs du groupe UMP) –, mais le conseil d'analyse stratégique du Gouvernement.