Monsieur le ministre, j'ai bien compris votre réponse à M. Germinal Peiro, à savoir que l'absence de croissance rendait les choix difficiles. Ne croyez-vous donc pas opportun de revenir précisément sur certains des choix qui ont été effectués ? Je l'ai dit : chaque année, l'effort que vous ferez est bien moindre que celui que d'autres gouvernements ont pu faire – je le maintiens, monsieur Censi. Aussi ne vous paraît-il pas opportun de revenir sur le bouclier fiscal qui coûte 600 millions d'euros par an,…