Madame la présidente, madame et monsieur les ministres, monsieur le rapporteur général, mes chers collègues, la crise sans précédent à laquelle nous sommes confrontés est la marque du double échec d'un capitalisme sans bornes et d'un libéralisme qui aggrave les inégalités et voue une confiance totale dans la capacité d'autorégulation du ou des marchés. (« Très juste ! » sur les bancs du groupe SRC.)