Une prise de participation au capital, c'est aussi un coût. Et une prise de participation a un effet d'affichage catastrophique. Ce que nous faisons est très différent de ce qu'ont fait différents États pour la Royal bank of Scotland et pour Dexia où il s'agit d'éviter une défaillance. Investir en capital dans des banques dont la Commission bancaire estime qu'elles sont solides, bien gérées, bien supervisées, qu'elles ont un business model qui leur permet de s'appuyer sur une activité de détail forte, aurait été le pire signal à donner et il ne se justifiait vraiment pas.