Au-delà de ces contreparties essentielles, nous devons bâtir un nouveau cadre pour le capitalisme : un cadre éthique et mieux régulé, au service du financement de l'économie réelle. Le président de la République s'est engagé à ouvrir bientôt ce chantier avec l'ensemble de nos partenaires européens et internationaux. Le premier ministre l'a dit tout à l'heure : il ne servirait de rien d'instaurer une régulation et des principes éthiques dans tel ou tel pays ou région dès lors qu'ailleurs sur la planète financière, des « trous » entraveraient le bon fonctionnement du système.