Je ne suis pas persuadé qu'il faille personnaliser les campagnes de sensibilisation en faisant intervenir des sportifs connus car si certains sont des gens bien, d'autres le sont moins.
Sur un autre plan, existe-t-il un moment-clé où une femme victime de violences conjugales décidera de partir ?
Quel regard les enfants qui ont été longtemps séparés de leur mère dans un tel contexte portent-ils sur elle quand ils sont adultes ? Expriment-ils des regrets ou considèrent-ils que leur père avait raison ?
Ne faudrait-il pas que lorsque une femme victime se rend dans un commissariat, elle porte plainte plustôt que de demander l'inscription d'une main courante ?