a alors rappelé les enjeux de l'industrie de la microélectronique. Il a souligné que ce secteur, avec celui du logiciel, était responsable de 90 % des innovations réalisées dans des marchés aussi porteurs que l'automobile, la médecine, la logistique et l'énergie. Il a donc estimé que sans une industrie de la microélectronique française et européenne forte et indépendante, la compétitivité de secteurs entiers de l'économie serait remise en cause et durablement affaiblie au profit de nos concurrents asiatiques et américains.
En conclusion, M. Claude Saunier, rapporteur, a présenté ses 21 recommandations visant d'une part à soutenir le secteur de la microélectronique et, d'autre part, à concilier l'essor de ce dernier avec le respect des données privées et de l'environnement.
Un large débat s'est alors ouvert.