Même avis pour les mêmes raisons. Le pari à cote n'est pas, en lui-même, porteur de tous les défauts. Dès lors que ce modèle économique, qui est celui de tous les grands opérateurs, ne semble pas comporter de faiblesses trop importantes, l'encadrement proposé devrait suffire. Si l'on ne fait pas preuve de ce réalisme, on risque d'être confronté à une offre qui restera illégale. Enfin, il serait difficile d'expliquer à la Commission européenne que nous approuvons le pari à cote lorsqu'il est organisé par la Française des jeux et que nous le désapprouvons lorsqu'il est organisé par d'autres.