Le pari à cote sur des événements sportifs existe déjà en France : « Cote et match » de la Française des jeux, par exemple. De plus, c'est la forme de pari la plus répandue dans le monde. Si l'on veut réussir une ouverture pragmatique, on ne peut interdire aux opérateurs de la pratiquer.
Quant aux risques de tricherie, ils n'épargnent pas le pari mutuel, on l'a vu dans le passé.
Dès lors que l'ARJEL en vérifiera la bonne gestion, le pari à cote doit trouver sa place en France.
J'émets donc un avis défavorable.