, a ensuite posé des questions sur :
- le contraste entre la place éminente de l'INRIA au sein de la communauté scientifique internationale et le faible rayonnement médiatique de l'Institut en France ;
- les nouvelles frontières que va se fixer l'INRIA dans son prochain plan stratégique ;
- la place de l'INRIA aujourd'hui dans la gouvernance de l'Internet ;
- la contribution de l'INRIA au développement des logiciels libres ;
- l'adéquation aux besoins de l'Institut des moyens de calcul dont il dispose, et l'apport, à cet égard, du projet Grid 5000 ;
- l'implication de l'INRIA dans les travaux de simulation numérique participant des recherches au laboratoire souterrain de Bure sur le stockage des déchets radioactifs ;
- les retombées attendues pour chaque partenaire du centre de recherche que l'INRIA vient d'ouvrir en commun avec « Microsoft Research » à Orsay ;
- les conditions dans lesquelles l'INRIA organise l'essaimage de ses réalisations scientifiques, en référence notamment au modèle de l'Université de Leeven aux Pays-Bas, qui s'appuie à cette fin sur une grande entreprise relais comme KPN ;
- la place des redevances de brevets parmi les vingt pour cent de ressources propres de l'INRIA.