J'ai en mémoire un proverbe provençal que je pourrais traduire par : « Le mieux est l'ennemi du bien ». Il convient en effet, selon moi, de ne réserver le bénéfice de l'amendement qu'à la première infraction, ce qui constituerait une sorte de feu clignotant. C'est en cela que notre action serait pédagogique : en faisant en sorte non pas d'exonérer les délinquants, mais d'aider au contraire les honnêtes gens.