Nous ne nous attendons pas à ce que tout le monde reconnaisse que nous avons gagné. Mais, comme le chantait Serge Lama, « C'est pas d'l'amour, mais ça viendra » ! (Sourires.)
Si deux États seulement ont reconnu ces deux républiques, nos partenaires et alliés de la Communauté des États indépendants – CEI – sont plongés dans un dilemme, ne sachant dans quelle direction s'orienter – Moscou ou Washington. Pour le moment, la balance penche du côté américain, mais le temps passe et, avec la crise économique, les choses peuvent changer.
Nous ne voulons pas la reconnaissance immédiate. Pour le moment, la question n'est pas celle de leur entrée à l'ONU ou autre, mais de la normalisation dans les mois qui viennent de la vie de tous ces gens qui ont beaucoup souffert. La politique, nous avons toute la vie pour nous amuser à cela.